Sénégalais et Mauritaniens engageront lundi 8 février à Nouakchott des pourparlers autour du renouvellement des licences accordées aux pêcheurs sénégalais dans les eaux mauritaniennes, a-t-on appris dimanche à Dakar. Lors de cette rencontre à laquelle......prendront part des experts des ministèresen charge du secteur de la pêche, la priorité sera donnée, a-t-on indiqué, à la ’’reconduction des autorisations des licences de pêche’’ qui vont arriver bientôt à terme.
Dans cette perspective, est attendue à Nouakchott une délégation du Conseil national interprofessionnel de la pêche artisanale du Sénégal (CONIPAS) pour rencontrer des représentants de la Fédération mauritanienne des pêches (FNP). Le dernier accord de pêche sénégalo-mauritanien remonte à avril 2009 lorsque les deux pays avaient convenu de maintenir un ancien protocole en la matière et décidé des améliorations dans le suivi de l’exécution du document.
Le protocole en question porte notamment sur l’octroi à la partie sénégalaise de licences pour 300 navires de pêche artisanale avec obligation de débarquement de 15% des captures en Mauritanie, et 10 licences au profit de bateaux de pêche industrielle pour le thon avec obligation de recruter des travailleurs mauritaniens à bord.
Il est, en outre, attendu que les deux organisations de pêcheurs dans les deux pays mettent l’accent sur ’’la nécessité de baliser et matérialiser les frontières et éviter des incursions qui coûtent souvent aux pêcheurs des arrestations et la saisie de leurs matériels’’, a, pour sa part rapporté le quotidien sénégalais le Soleil.
Le secteur de la pêche représente l’un des principaux piliers pour les économies de ces deux pays, par ailleurs membres de la Commission ouest-africaine des pêches créée en 1985 par sept Etats (Sénégal, Gambie, Guinée, Mauritanie, Guinée-Bissau, Cap-Vert et Sierra Leone).Un incident a opposé récemment des gardes cotes mauritaniens à des pécheurs sénégalais. Une vedette de la marine mauritanienne a chaviré au moment où elle poursuivait des pécheurs sénégalais dans les eaux territoriales mauritaniennes. Un officier de la marine mauritanienne a trouvé la mort lors de cet incident.
Source : Tahalil.
Dans cette perspective, est attendue à Nouakchott une délégation du Conseil national interprofessionnel de la pêche artisanale du Sénégal (CONIPAS) pour rencontrer des représentants de la Fédération mauritanienne des pêches (FNP). Le dernier accord de pêche sénégalo-mauritanien remonte à avril 2009 lorsque les deux pays avaient convenu de maintenir un ancien protocole en la matière et décidé des améliorations dans le suivi de l’exécution du document.
Le protocole en question porte notamment sur l’octroi à la partie sénégalaise de licences pour 300 navires de pêche artisanale avec obligation de débarquement de 15% des captures en Mauritanie, et 10 licences au profit de bateaux de pêche industrielle pour le thon avec obligation de recruter des travailleurs mauritaniens à bord.
Il est, en outre, attendu que les deux organisations de pêcheurs dans les deux pays mettent l’accent sur ’’la nécessité de baliser et matérialiser les frontières et éviter des incursions qui coûtent souvent aux pêcheurs des arrestations et la saisie de leurs matériels’’, a, pour sa part rapporté le quotidien sénégalais le Soleil.
Le secteur de la pêche représente l’un des principaux piliers pour les économies de ces deux pays, par ailleurs membres de la Commission ouest-africaine des pêches créée en 1985 par sept Etats (Sénégal, Gambie, Guinée, Mauritanie, Guinée-Bissau, Cap-Vert et Sierra Leone).Un incident a opposé récemment des gardes cotes mauritaniens à des pécheurs sénégalais. Une vedette de la marine mauritanienne a chaviré au moment où elle poursuivait des pécheurs sénégalais dans les eaux territoriales mauritaniennes. Un officier de la marine mauritanienne a trouvé la mort lors de cet incident.
Source : Tahalil.